Retrouvez nos conseils et infos pratiques pour organiser votre voyage en Roumanie et visiter les régions, villes qui vous font envie : les Carpates, les Maramures, la Bucovine, Dobroudja, le Delta du Danube, Bucarest, Sibiu, Brasov...

Informations générales

Capitale : Bucarest
Nombre d'habitants : 19 millions d'habitants
Superficie : 238 291 km2
Accès : la Hongrie (Nord-ouest), l’Ukraine (Nord et Est), la
République de Moldovie (Est), la Mer Noire (Sud-est), la Bulgarie (Sud), la Serbie (Sud-ouest)
Points d'altitude : Le plus bas – la Mer Noire : 0 mètres
Le plus haut – le sommet Moldoveanu : 2.544 mètres

Formalités d’entrée

La présentation d’une carte d’identité ou d’un passeport (valide au moins 6 mois après la date de retour) suffit pour un séjour maximum de 90 jours pour les ressortissants de l’Union Européenne ou de la Suisse. 

Monnaie

La monnaie roumaine est le leu (pluriel : lei).
1 leu (abréviation : RON) = 100 bani (singulier ban).
Les grandes chaînes d’hôtels et de restaurants acceptent les cartes de crédit, dont Master Card, Visa, American Express et Dinner Club.

Electricité

Prises de 220 volts, de type européen.
Prévoir un adaptateur.

Religions

Seul pays latin de religion orthodoxe, la Roumanie est très marquée par la foi et la spiritualité.
L'Église exerce sur l'ensemble de la société une forte influence, que l'on constate dans la religiosité omniprésente et parfois très touchante du quotidien des villages. Mais les témoignages les plus extra­ordinaires de l'empreinte culturelle de l'Église demeurent les chefs-­d'œuvre d'art religieux - églises et monastères - qui jalonnent le pays. Car l'histoire de la Roumanie, christianisée dès les premiers siècles de notre ère, est intimement liée à celle de la religion orthodoxe. Au cours des siècles et des dominations successives, l'Église s'est en effet affirmée comme le cœur de la résistance culturelle et de l'unité des Roumains (source : www.guideroumanie.com).

Gastronomie

Les Roumains réservent une place privilégiée à l'art de se nourrir, et surtout à celui d'honorer leurs invités par une table souvent excessivement mais délicieusement garnie. Robuste par ses racines paysannes et créative par nécessité, du fait de longs siècles de précarité, la cuisine roumaine s'est enrichie au fil du temps d'apports orientaux et slaves. C'est ainsi que quelques produits et plats de base ont donné naissance à un foisonnement de saveurs et de variantes régionales. Dans les campagnes, l'assiette des jours ordinaires se montre parfois spartiate, toujours simple et vigoureuse : paysan, berger, faucheur ou bûcheron doivent faire le plein d'énergie avec peu de moyens. La famille produit l'essentiel de ce qu'elle consomme : choux, pommes de terre, haricots, oignons, blé, fruits, cochon, bétail, volaille, produits laitiers. Dans de nombreuses régions, on cultive aussi le maïs : sa farine sert à préparer une sorte de polenta, la mamaliga, l'incontournable compagne de la cuisine roumaine, qui remplace souvent le pain. Elle peut même constituer l'essentiel du repas à travers des plats roboratifs comme la mamaliga cu brânza (au fromage et au lard), en Maramures, qui mérite d'être connue tant elle incarne une certaine économie de la vie. Mais la cuisine puise aussi son inspiration dans la nature, que les paysans ont appris à utiliser à la perfection (source : www.guideroumanie.com).